Le Royaume chérifien, hôte de cette édition de la CAN féminine 2025, peut se réjouir de la performance de son équipe nationale, qui a réussi à s’extraire de son groupe sans encombre, confirmant sa montée en puissance sur la scène continentale.
Les Lionnes de l’Atlas affronteront vendredi après-midi au Stade Olympique de Rabat, la redoutable formation malienne. Un peu plus tôt dans la matinée au Stade Larbi Zaouli de Casablanca, c’est la sélection du Nigeria, neuf fois championne d’Afrique qui croisera le fer avec celle de la Zambie, venue deuxième derrière le Maroc en match de poule
Les autres affiches le lendemain samedi 19 juillet, promettent également des duels de haute intensité.
Dans les gradins comme sur les réseaux sociaux, l’engouement est palpable. Les stades accueillent de plus en plus de supporters, preuve de l’intérêt croissant pour le football féminin au Maroc et en Afrique en général. Les organisateurs saluent déjà un succès populaire, avec une couverture médiatique élargie et une affluence en hausse par rapport aux éditions précédentes.
À mesure que la compétition avance, les enjeux se font plus pressants. Outre le prestigieux trophée continental, les meilleures équipes de cette CAN féminine visent également une qualification pour les prochaines grandes échéances internationales, notamment les Jeux olympiques et la Coupe du monde.
Le Maroc, en plus de jouer à domicile, porte aussi l’espoir de tout un pays en quête d’un premier sacre historique. Mais face à des nations expérimentées et déterminées, la route reste semée d’embûches.
Le coup d’envoi de cette phase à élimination directe marque un tournant dans la compétition. Désormais, chaque erreur peut coûter cher. Place au spectacle, à l’intensité et à l’émotion. Le rendez-vous est pris pour des quarts de finale qui s’annoncent passionnants.
